MALI/TRANSITION ET REFORMES POLITIQUES : le référendum prévu le 19 mars 2023 reporté à une date ultérieure

Le gouvernement de la transition militaire au Mali a décidé de reporter le référendum prévu au 19 mars 2023 à une date ultérieure pour, dit-il, tenir compte des recommandations des assises nationales de la refondation. Ci-dessous le communiqué du gouvernement malien.

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MALI-FRANCE/ONU : Bamako ne veut plus de la France comme coordinateur-rédacteur et/ou porte-plume des résolutions sur le Mali

Après la dénonciation des accords militaire et de coopération, après avoir sommé et obtenu de la France le retrait des troupes françaises sur son sol, le Mali vient de demandr au Conseil de sécurité de retirer à la  France  ses fonctions à l’ONU de coordinateur-rédacteur des résolutions sur la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au Mali ( Minusma ) ou sur le régime des sanctions concernant le pays. En un mot comme en cent, les autorités maliennes ne veulent plus que Paris soit le porte-plume de la République du Mali à l’ONU.

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MALI : Guillaume Ngefa, persona non grata au Mali, la France et l’ONU condamnent, Lavrov promet à Assimi Goïta de lutter contre les approches « colonialistes »

Le directeur de la Division des droits de l’homme de la MINUSMA, Guillaume Ngefa-Atondoko Andali, déclaré “persona non grata” au Mali par les autorités militaires au pouvoir. L’ONU et la France  protestent et condamne. Pendant ce temps, les autorités maliennes soignent leur relation avec la Russie.

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BURKINA FASO/FRANCE : après le Mali, les autorités burkinabè donnent 1 mois à l’armée française pour quitter le pays; E. Macron réagit

Le “combat pour la souveraineté” est “engagé”, a dit mardi le président de transition, le capitaine Ibrahim Traoré, devant des étudiants. “Le gouvernement burkinabè a dénoncé mercredi dernier l’accord qui régit depuis 2018 la présence des forces armées françaises sur son territoire”. “J’attends que le président de transition Traoré puisse s’exprimer, parce que j’ai compris que les messages qui étaient sortis à ce stade relevaient d’une grande confusion, celui-ci étant en déplacement hors de la capitale. Donc, je pense qu’il faut garder beaucoup de prudence, et veiller à ce qui est une spécialité de certains dans la région, qui peuvent avoir partie liée au demeurant avec ce que nous vivons en Ukraine, à savoir nos amis Russes […]. Nous attendons des clarifications de la part de M. Traoré sur ce sujet”, a réagi Emmanuel Macron, indique RFI.

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MALI/ 49 SOLDATS IVOIRIENS: un journal français les accuse de participer à des activités de gardiennage, de trafic d’or..un business D’Hambak et de Karim Keita

Dans sa livraison du 18 janvier 2023, le site d’informations générales de la Françafrique, Le monde.fr Afrique croit savoir pourquoi les 49 soldats ivoiriens ont été interpelés le 10 juillet 2022 au Mali et pourquoi ils y sont restés pendant 6 mois. Le journal de la françafrique évoque la main de Guillaume Soro et plus grave les soldats ivoiriens, au-delà de la mission officielle, participaient à des activités de « gardiennage privé » au profit de deux hautes personnalités malienne et ivoirienne, donc à un trafic d’or : un business monté par Karim Keïta et Hamed Bakayoko ». Ci-dessous la livraison de “Lemode.fr/Afrique.

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CÔTE D’IVOIRE/MALI : le geste de Bamako qui a favorisé la libération des 46 militaires ; l’hypothétique arrivée de Assimi Goïta à Abidjan

La négociation pour la libération des 49 soldats ivoiriens aura fait couler beaucoup d’encre et de salive. Le nœud gordien était le renoncement par Bamako à voir  extrader les opposants maliens en exil en Côte d’Ivoire. Si Alassane Ouattara a convié Assimi Goïta en visite officielle à Abidjan, sa venue apparaît très hypothétique.

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CÔTE D’IVOIRE-MALI : Bamako gracie avec remise de peines les 49 soldats ivoiriens et envoie des piques à la CEDEAO et à son Président Embalo

Par Décret n° 2023-0002/PT-RM du 06 janvier 2023, le Colonel Assimi GOITA, Président de la Transition du Mali, Chef de l’Etat, accorde la grâce présidentielle avec remise totale de peines aux 49 militaires ivoiriens condamnés par la justice du Mali. Ci-dessous le communiqué du gouvernement Malien.

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CÔTE D’IVOIRE/MALI : les 46 soldats ivoiriens condamnés chacun à 20 ans et deux millions d’amende

Accusés des crimes d’attentat et de complot contre le gouvernement malien, d’atteinte à la sureté extérieure de l’Etat, de détention, port et de transport d’armes et munitions ou de défense intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de  troubler l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les 46 soldats ivoirien détenus au Mali depuis le 10 juillet ont été jugés et condamnés à 20 ans de prison et 2millions d’amende chacun le vendredi 30 décembre 2022 à Bamako. Ci-dessous le communiqué de tribunal de Bamako et l’acte de renvoi devant cette cour d’assises.

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SOMMET CEDEAO : l’ultimatum du 1er Janvier 2023 de la CEDEAO au Mali ; le projet de la création d’une force anti coup d’état adopté mais…

Le Mali, l’un des sujets brulants du 62è sommet de la CEDEAO qui s’est réuni le 04 décembre au Nigéria, a assisté à la réinstallation dans son fauteuil du Premier ministre Choguel Maïga. Il revient en première ligne après avoir été écarté du pouvoir pour des urgences médicales. Le décret nommant son intérimaire a été abrogé par Assimi Goïta. Il lui reviendra donc de gérer les suites de la décision de la CEDEAO  d’envoyer contre le pouvoir malien une force militaire si d’ici le 1er janvier 2023 les 46 « soldats » ou « mercenaires » ivoiriens détenus au Mali  n’étaient pas libérés.

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MALI-FRANCE : Paris suspend son aide publique à Bamako, Assimi Goïta réagit et interdit toutes les ONG françaises agissant au Mali

Réagissant à la volonté de Paris de suspendre son aide publique au développement à destination du Mali  au profit des  ONG françaises exerçant au Mali, le gouvernement de la transition malienne a dénoncé cette décision. Mieux et en représailles, Bamako a décidé d’interdire, avec effet immédiat, toutes les activités menées par les ONG opérant au Mali sur financement ou avec l’appui matériel ou technique de la France, y compris dans le domaine humanitaire.

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